Pour notre plus récente histoire sur le Pouvoir des données, le CGIPN s’est déplacé jusqu’à la Première Nation de Saik’uz, au cœur des terres de la Colombie-Britannique, où nous avons passé une journée à discuter avec le Chef et d’autres personnes dans cette petite communauté carrier. Comme nous l’avons rapidement découvert, les données prennent ici plusieurs formes, y compris les histoires traditionnelles transmises d’une génération à l’autre dans de nombreuses communautés des Premières Nations.
Pour Stanley Thomas, alors chef des Saik’uz, ces traditions de narration orale sont un moyen important de transmettre des informations culturelles au sein d’une famille et de la communauté dans son ensemble.
« Selon moi, les données ont toujours fait partie de nos vies, mais elles ne sont simplement pas toujours écrites », dit-il.
Cet article est le dernier d’une série sur le Pouvoir des données qui explore l’impact des données de qualité sur la vie dans les collectivités des Premières Nations du Canada, tout en soulignant l’impact réel que les données de l’Enquête régionale sur la santé des Premières Nations du CGIPN (ERLSPNI, ou ERLS) ont eu dans les communautés des Premières Nations au cours des deux dernières décennies.
La série a été lancée au printemps 2015 et, depuis lors, nous avons publié cinq histoires sur l’importance des données dans les collectivités des Premières Nations.
Vous pouvez lire notre dernier article ici, Le Pouvoir des Données! : Saik’uz
Avez-vous une histoire liée au Pouvoir des données dans votre communauté qui vaut la peine d’être racontée? Envoyez-nous un courriel à [email protected] pour nous en parler!